Maksutov skywatcher 127

[NDLR] article rédigé en 2002-2003. nombre de considération écrite ci dessous sont désormais largement obsolettes, mais d’autres conservent leur pertinences

• Le Makutov Skywatcher 127

Compte rendu d’utilisation

Frédéric Tapissier

1er contact

Ce Maksutov-Cassegrain est livré dans un unique carton compact de modeste dimension, avec une bonne quantité de chips et bulle pour amortir un voyage certainement peu reposant. Apres avoir vu comment les postes (( UPS, Chronopost et autres Fedex) travaillaient, il était clair dans mon esprit que c’était l’absolu minimum.
J’avais acheté ce télescope dans l’esprit de me faire un engin guide, afin de guider mon c9’1/4 pour les longues poses.
Au déballage, je trouve la facture noyée dans les chips et le maksutov tant convoité avec une peinture bleue cyan métallisé du plus bel effet. Le mak est livré en standard avec deux oculaires : un 20 sw et un 10 . Ayant déjà, par le passé possédé ces mêmes oculaires livrés en standard avec mon kepler 150/750 newton, je savais que le « 10 » était singulièrement anecdotique (pour être gentil) et le 20 très passable.
En extrayant le mak de son carton, je suis surpris par son poids relativement important, on a beau s’y attendre, il n’en reste pas moins lourd (3,45kg nu).
C’est vrai que l’animal est beau : mais bon c’est du matériel chinois, avec tout les aléas que cela comporte.
Autre surprise : le mak est livré avec une « interface » inhabituelle : pour faire la liaison entre le télescope et la monture, est vissé sur le « ventre » du télescope une espèce de rail, en forme de trapèze, dont la plus grade surface est vissée au flanc du télescope. dans ce rail , une multitude de trous taraudés à divers endroit sont disponibles, et sont tous au format US ( pas kodack) sauf deux, au format européen (ouf) ; donc en passant commande chez votre fournisseur préféré, n’oubliez pas de spécifier que vous voulez une queue d’aronde (compatible) avec. Dans une boutique spécialisée de Colmar, ils ont pris l’initiative de faire fabriquer cette petite queue d’aronde sur mesure, et on les en remercie. Cette dernière est usinée dans un métal massif (acier , probablement ) et rajoute encore au poids de l’ensemble.
Le chercheur : c’est un drôle de truc : c’est un chercheur redressé qui nous a été fourni, produisant des images à l’endroit, ce qui est plutôt inhabituel en astro mais on prend vite la gymnastique. Il fournit un champs correct sans plus

Le dévissage : dans le sens inverse des aiguilles d’une montre
Retirer précautionneusement le braillet
Mak évidé
Gros plan sur le système de Mise au point

2 en visuel

A- De jour

1500 mm de focale : ce n’est pas rien !
Apres une solide collimation (voir 3); muni d’un solide trépied photo, il fait un excellent téléobjectif, si en plus des étoiles, vous aimez ornithologie…. par contre à 1500 f/d12 il n’est pas très lumineux, prévoir quelque chose de sensible, et mieux vaut ne pas marcher autour du trépied !!! Les images sont extraordinairement piquées, résolues. En plus, son relativement faible diamètre joue pour une bonne stabilité des images à la turbulence atmosphérique, le C9’1/4 mis a coté sur le même objet (bille en acier placée à 100m), le même jour même heure etc. : la tache d’Airy est parfaitement visible au mak : un premier point brillant, suivit d’un anneau plus faible et d’un troisième quasi imperceptible. Dans le c9 : c’était une bouillie infâme. La turbulence qui affectais le c9 rendaient l’image plus sombre et moins détaillée que dans le mak.

B- sur le ciel :

Après une collimation et une longue mise en température (1h et quart minimum)
le mak commence à donner sa mesure 🙂
premier objet, première surprise : la lune magnifique (premier quartier) l’image est stable, très piquée, ciselée y compris à fort grossissement, colorimétriquement neutre.
C’est un pur plaisir de se promener à la surface d’une lune expurgée de ses habituels remous atmosphérique
Sp@ceCowboy a réalisé une série de clichés argentique de notre satellite sur un film inversible Provia™ 100 f
c’est à dire un film peu sensible obligeant à faire des pauses de 1 seconde !
on voit que le mak n’a pas enregistré trop de turbulence.
Les résultats sont tout à fait exceptionnels pour de l’argentique : une seule pose enregistrée pour chacune de ces images (voir plus bas pour les détails)

Sur le cliché de droite nous obtenons la résolution impressionante pour de l’argentique de 0,5″ d’arc n’oubliez pas que nous ne disposons que de 127 mm de diamètre

Mars nous réserva également une autre bonne surprise : pendant la conjonction de l’été 2003, l’infatigable SpcCb a réalisé une série de clichés (web cam) de la petite planète

clic for bigger // cliquez pour l'image en grand

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En Solaire :

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En Ciel Profond.

C’est une surprise : on voit des choses 🙂
Les objets brillants se révèleront assez facilement. Les nébuleuses planétaires, comme la Lyre et Dumbbell, n’auront pas trop de secret pour ce petit télescope, Orion sous un ciel bien noir révélera même ses filaments, Andromède est visible très facilement malgré un manque évident de détails, M51 sera faiblement visible, avec peut de détail, là aussi, les amas ouverts sont prodigieux et les amas globulaires, bien que non résolus, offrent un spectacle des plus intéressants. Sur m13 par exmple : cet amas apparaît sous la forme d’un disque gris dégradé du centre vers le bord, il est cependant granuleux. Avec l’amis Tomat nous avons réalisé une photo de cet amas fait avec le tube dans des conditions de transparence épouvantable : aucune étoile d’hercule ni même de la lyre (éxeptée VEGA) n’était visible.
le résultat est cependant sympathique


Je suis entrain de réfléchir a l’opportunité de réaliser des clichés deep sky avec le Maksutov 127 en guidant avec le C9’1/4 . Bonjour les monstrueux temps de pause


Laissons au Photographe , SpcCb le soin de nous présenter cet instrument pour une utilisation ARGENTIQUE

Le Maksutov Cassegrain Skywatcher en utilisation planétaire argentique
SpcCb

Avant propos…

Ayant été agréablement surpris par la qualité des images CCD [webcam] sorties de ce télescope lors de notre […] escapade en Creuse [MICA (premiere édition [ndlr])], ce fut avec plaisir et grande curiosité que j’acceptais la proposition de FrédoGoto pour l’héberger pendant un week-end. [le scope, pas FrédoGoto]
J’allais pouvoir titiller un peu la bête…
Surtout que plus ça va, plus j’entends parler des astrophotographes argentiques « planétaires » comme étant des dinosaures, ou une espèce en voie de disparition. Mmfff…

Enfin, étant donné le coût d’un tel engin [très raisonnable], je me disais que s’il y avait moyen de moyenner quelque chose de potable avec, sans se ruiner [boîtier photo d’occasion moyenâgeux _1980_ et une ou deux péloches pas trop cracra _50F_], cela pourrait le faire, surtout en sachant que tout le monde ne peut se permettre l’achat d’un nohesse dernier cri ou d’un kit wèbcamme-pécéportable-alim-chargeur-cables-logiciels, même si ce dernier se démocratise.


Considérations techniques…

Aux vues des objets de type planétaire du moment, le choix s’en va logiquement vers la Lune [en premier quartier moins un chouia] et Jupiter [bien qu’un peu basse].
Le choix du film a été dicté par la luminosité des objets et la demande de précision, soit Fuji Velvia [50asa] et Provia 100F, histoire de ne pas changer mon équipe qui gagne et parce que c’est aussi ce que j’avais en stock au frigo.
Tout ce beau monde sera placé dans un boîtier SLR Canon A1 nu [sans winder] afin de ne pas charger le tube inutilement.
Au niveau des accessoires, entre le boîtier et le tube, j’ai, à discrétion, tout le panel d’occulaires, barlow, etc., de FrédoGoto [coul :)] ainsi qu’une bague T2 FD, un doubleur de focale « photo » 7KFC, 2 tubes allonges Meade et un déclencheur souple.

L’optique proprement dite est donc un télescope Mak SW de 127 mm de diamètre et de 1500mm de focale de base, donnant un f/D de base de 11.8 [arrondi à 10-1] qui sera placé sur une monture Vixen GDPX mue par une DD1 afin de facilité le suivi et de permettre des temps de pose à volonté sans risque de flou de bougé.
Remarque: le système de fixation SW par une vis au pas Kodak ne me convenant pas [risque de rotation et un peu « léger »] j’ai du bidouiller avec de la visserie standard une adaptation sur une platine multi-usage Vixen en prenant deux points de fixation. Le montage c’est ainsi révélé très stable.
Et comme le déballage de matériel commençait à être envahissant, je n’ai pas trop poussé en plantant ma tante dans mon jardin, en région parisienne.


Premier essai…

Premiers problèmes…
En effet, au foyer de l’instrument un vignetage important apparaît.
Certainement en raison de la bague de sortie du tube mais celle-ci étant soit indémontable, soit tellement serrée, que j’ai abandonné l’idée de la retirer… Sous le risque d’endommager le tube ou la bague. Cela calme tout de suite. Mais enfin, la Lune apparaîtra dans la zone non dégradée avec 1.5m de focale.
Passons.
Après consultation des temps de pose optimums sur la Lune en fonction du f/D [important] et de la sensibilité du film, j’entame donc une première série de clichés qui me servirons comme base.
Développement le lendemain matin, et plouf, surprise.
Wouaaa, c’est sombre. Très sombre. Si sombre qu’on voit à peine les clichés des temps de pose les plus importants.
Il y a quelque chose qui cloche.

Retour à la maison, vérification du boîtier, tube, etc. Rien, tout va bien.
Des tests dans le test s’imposent… lol
Je place le Mak sur un pied photo et sur un autre, un objectif photo [réfrateur fluo de 110mm de diamètre] sur lequel j’ai amené l’ouverture à une valeur comparable à celle du Mak, histoire de comparer ce que me donnait la cellule sur un sujet uniforme et de luminosité constante [mur clair] entre les deux optiques.
Et surprise! Après quelques calculs savants et méthodes empiriques, la différence de luminosité entre le Mak et le réfracteur est d’un facteur de 2.7 [arrondi à 10-1].
Notons que 2.7 est plus proche de 3 que de 2 et donc c’est par presque 3 qu’il faudra multiplier les temps de pose de référence.
Ceci explique le raté des premiers essais mais ne donne pas le « pourquoi ». Peut-être l’obstruction?… Certains seront plus à même que moi de débattre sur cela puisqu’en tout état de cause, il y a une raison.


Deuxième essai…

Fort de mon nouveau facteur, je décide donc une deuxième soirée photo. Toujours avec le même matériel, et toujours au même endroit.
J’attaque de bonne heure [le ciel est encore un peu bleuté] afin de profiter d’une turbulence de restitution moindre avec des séries de 5 clichés [au lieu de 3 habituels]

pour encadrer le nouveau temps de pose de référence de +/- 1 et 2 diafs.
Je commence « facile » avec la Lune au foyer des 1500mm, sur Fuji Velvia [50 ISO].
Nickel. Le vignetage n’empiéte pas sur le croissant bien centré et la stabilité du montage est optimale.

Le temps de pose idéal est très proche du nouveau temps de pose de référence, la colorimétrie est homogène et le piqué très correct.
Passons à un grossissement supérieur avec l’ajonction du doubleur de focal 7KFC, toujours sur la Velvia:

Le montage est toujours aussi stable [largement plus que si j’avais utilisé une barlow 31.75] et le vignetage a disparu.
La colorimétrie reste toujours aussi propre malgré le décalage dans le bleu sur le terminateur car le ciel était encore un peu clair.
La résolution est au rendez-vous [ça fait plaisir] et de nombreux détails sont déjà bien visibles. Je vous laisse imaginer ce que cela donne sur un tirage 30x45cm de bonne facture.
Notons aussi que ce quartier de Lune passe sans problème dans cette position avec les 3m de focale résultante, alors que « normalement » la focale maximale pour faire rentrer la Lune sur un film 24×36 se situe aux alentours de 2.7m.
Changeons de film [par un Provia 100F] pour ne pas trop prendre de secondes de pose dans l’oeil et poussons un peu le test en ajoutant une barlow 2x Meade [version longue, la barbe, mais je n’ai que cela sous la main] à la sortie du tube. Un peu de tirage entre la barlow et le doubleur suffiront amplement à un cliché de la partie Nord.
Le montage commence à battre un peu de l’aile en raison du bras de levier [une vingtaine de centimètres] et du diamètre des tubes; le moindre toucher sur le montage produit une vibration très inconfortable pour la mise au point, surtout qu’à 6m de focale résultante, c’est plus très très lumineux, même dans un verre de visée « clair ».
Mais je me lance:

Oops! La jolie tâche bleue… Merci la barlow. Pourtant estampillée « APO » elle induit un chromatisme bien marqué. Cependant, mis à part le centre du cliché, l’image est de qualité acceptable à mon goût et de nombreuses formations sont détaillables.
La chaîne des Alpes [au centre] sort de l’ombre, les murs de la Mer de la Sérénité sortent pas mal [au centre à droite], le cratère Bessel et même Deseilligny sont résolus et de belles rainures sont observables [en bas à droite].
Après cette mise en température, il est temps de passer aux choses sérieuses.
Fini la barlow à pot, place à un occulaire de 18.5mm [Zeiss, il me semble] pour projeter une image après deux bagues allonges afin d’obtenir une focale résultante d’environ 12m [je ne suis pas à quelques centimètres près].
Là, le montage rebel défie les lois de la gravité et il y a autant de longueur de tube optique que de tube à sa sortie.
La mise au point est très fastidieuse et les temps de pose se sont tellement envolés haut [16s au maximum] qu’il faut passer à l’occultation manuelle [avec le cache du mak].
Un trou dans la turbulence et j’en profite pour faire une série sur la partie basse de notre satellite:

cliquez pour zoomer : clic for bigger

Le gros cratère presque au centre [légèrement en haut à gauche] est Maurolycus.
Au premier abord, en voyant ce cliché, je me suis dit que la mise au point n’était pas si géniale que cela. Cependant, après analyse, il semblerait que si. Voyez plutôt ce recadrage grossi deux fois sur Maurolycus:
Outre la présence indéniable de chromatisme, on remarque un petit cratère en haut à droite, sur la crête du principal. Bien que je n’ai pas trouvé son nom, il apparaît comme une formation de un arc seconde de diamètre depuis mon lieu d’observation, sur Terre.
Et on peut sans nul doute observer des détails inférieurs au diamètre de ce petit cratère.
Enfin, sachant que ce type d’optique à un pouvoir séparateur théorique de l’ordre de l’arc seconde, on peut raisonnablement penser qu’on atteint [voir dépasse légèrement] le maximum de ses possibilités.

Un petit tour sur Jupiter…

Malgré sa faible hauteur [moins de 20°] je profite de quelques poses restantes et du montage en cours [avec une bonne MAP] pour faire quelques clichés sur la planète du soir.
Les temps de pose de référence sont toujours multipliés par le facteur empirique et voici ce que j’ai obtenu avec un simple compositage par addition [avec compensation des niveaux] de 3 clichés réduits à 50% et recadrés:

La colorimétrie est un peu étrange, mais certainement du fait de la diffraction atmosphérique et les détails sont plutôt « légers », à mon goût.
Cependant, de sensibles et délicates petits variations sont visibles dans les bandes, et les parties des pôles offrent des dissymétries intéressantes.Bien entendu, cette image ne constitue pas une référence de comparaison car les conditions de prise de vue n’étaient pas optimales, mais elle donne tout de même une bonne idée de ce que l’on peut obtenir sur des planètes […] avec ce petit télescope.
Intéressant, n’est-il pas?…

[ndlr] je me suis pemis de retouché un peu la photo ci dessus afin de rétablir les couleurs naturelle sur l’image ci dessous, on se rend mieux compte de capacité de l’instrument. Ne perdez pas de vue que nous sommes toujours en photographie Argentique et que ceci n’est le resulta que d’une seule pause

Conclusions…

Malgré quelques impasses techniques;
– vignetage par occultation au foyer,
– mise au point pointue,
– luminosité lointainement en deçà de la théorie optique,
– montages rebels pour atteindre de longues focales, …
la photographie argentique planétaire reste intéressante avec ce petit tube, facilement transportable, et je pense qu’avec un peu de temps pour s’y faire et de bonnes conditions d’observation, il est possible de sortir des clichés bien meilleurs que ce que je viens de vous proposer.
Aussi, la voie du traitement numérique est toujours ouverte, je pense à une méga-mosaïque ou à compositer quelques clichés en vue d’un gain de résolution.

Notes photométriques…

Mis à part spécifications, toutes les photos présentées ici le sont dans leur entièreté, sans compositage ni retouche particulière autre qu’une compensation spectrale correspondant au shifting intrasec du film, et un léger filtrage d’accentuation [indice 2.1 maximum sous ps].

7 thoughts on “Maksutov skywatcher 127

  1. EL says:

    Bonsoir Frédéric,
    C’est avec encore plus de recul temporaire que je vous écrit cet Email (en aout 2014).
    En premier je trouve votre article extrêmement intéressant et vous en félicite.
    En second, en tant que débutant en photo-astranomie : je m’équipe en ce moment et dispose d’une monture (trépied motorisé) MEADE DS-2000 GOTO (qui à mon avis ne peut supporter un tube de plus de 4 à 5 Kg, poids avec l’APN inclus) je m’oriente plutôt sur le modèle SkyWatcher MAK 102/1300 mm (il ne fait que 1,9 Kg en version OTA – Tube seul sans monture). En tant que débutant, je ne me rend pas compte des incidences en terme de perte de grossissement et luminausité par rapport au MAK 127/1500 mm, mais les 3,4 Kg du tube me font peur pour ma monture GOTO?
    Actuellement j’utilise un objectif à miroir (même technologie que les MAK) de marque SAMYANG, modèle 500 mm et focale de F/6,3 avec doubleur Samyang : cela correspond à un 800 mm F/6,3 (canon x 1,6 en APS-C) ou 1600 F/13 avec le doubleur.
    Par contre je ne trouve pas la netteté très terrible, ni le piqué !
    Cela sera t-il meilleur avec un « vrais » MAK Skywtacher ?
    Merci de bien vouloir me donner votre avis sur la question avant que j’achète quoi que se soit.
    Vous en remerciant, EL.

  2. J.Claude says:

    Bonjour,
    malgré la date très ancienne de cette rubrique j’aimerais revenir dessus. Depuis peu je suis possesseur du SW Maksutov 127/1500 Goto, je ne parlerai pas trop technique ni autre vu que dans le domaine Astro je débute, je me suis bien sur essayé sur la lune, Jupiter, Sirius etc etc. Bref j’apprends, très passionné de photos terrestre évidement dés l’achat de mon scope j’ai acheté d’office la monture T2 pour raccorder mon Pentax KR dessus.
    Une simple question, comment faites vous pour raccorder soit les oculaires soit la Barlow ?
    Car lorsque je branche le KR c’est directement au tube par le biais de la monture T2, ce qui a pour effet un grossissement mais c’est tout et je voudrais travailler avec les oculaires et la Barlow.
    Merci d’avance et bon ciel.

  3. Dirk Wollny says:

    Bonsoir chers lecteurs, cher M. Frédéric Tapissier,

    je m’ excuse de mon Francais n’ étant pas si correct. J’ ai lut votre rapport sur le Maksutov skywatcher 127 car j’ ai l’ intention de m’ acheter ce télescope-là. Que pensez-vous, soit-il assez propre pour un débutant qui va se développer pied à pied ? Ou soit cette vente trop pour le moment ? Je ne veux pas gâcher de l’ argent parce qu’ il semble nécessaire d’ adapter mes connaissances se développées par un achat de nouveau.
    Je vous laisse et j’ attends curieusement à votre réponse. Ou bien la résonance des savants de ce loisirs si spectaculair.

    Veuillez agréer, Monsieur, l’ expression de mes sentiments distingués

    D. Wollny

    1. Frédéric says:

      bonjour.
      ce télescope reste un très bon télescope, à condition effectivement de bien s’en servir.
      a f12 il est plus particulièrement adapté a l’observation planétaire. Il est nettement moins performant pour le ciel profond.
      De plus ils sont maintenant proposé a des tarif très compétitif… (350€) mais vous en trouverez pas mal sur le marché de l’occasion autour de 200€.
      si le télescope est bon c’est une bonne affaire 🙂

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